Front national: notre dossier Enquête

La «GUD connection» tient les finances de Marine Le Pen

Marine Le Pen a confié à la galaxie des anciens du GUD, groupuscule étudiant d'extrême droite radicale, de nombreux postes financiers, leur conférant la haute main sur la trésorerie du parti. Au centre de cette nébuleuse : Frédéric Chatillon, dont la société a perçu 1,6 million d'euros pendant la campagne présidentielle, d'après des documents consultés par Mediapart.

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Le Front national n’est pas « d'extrême droite ». C’est le nouveau combat sémantique de sa présidente, qui menace d'« actions en justice » ceux qui continueraient à accoler ce qualificatif à sa personne et à son parti. Pourtant, depuis son arrivée à la tête du Front national, Marine Le Pen a confié au cercle des anciens du GUD (Groupe union défense) de nombreux postes et missions financières, leur conférant la haute main sur la trésorerie du parti, d'après des documents inédits consultés par Mediapart.

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